C’est quoi le cashback ? Populaire en Europe et en Suisse alémanique, le cashback commence à faire son apparition en Romandie. Mais ce concept relié au marketing d’affiliation peut parfois susciter la peur ou ne pas être compris réellement. Alors, ça veut dire quoi ce terme un poil barbare ?
Dépenser… mais récupérer un peu. Lorsque vous réalisez un achat en ligne, vous dépensez une certaine somme d’argent, et celle-ci peut parfois être plus avantageuse grâce à un bon de réduction. Imaginez maintenant l’inverse : la réduction ne s’avère pas être une remise, mais finit par vous être versée sur un compte une fois l’achat réalisé. Vous pouvez ainsi “récupérer” un pourcentage de votre somme dépensée : 2, 3, 4% ou même plus. Eh bien c’est ça le cashback !
Pourquoi utiliser ce concept ?. Le cashback repose sur une technique de marketing d’affiliation, comme l’explique Polina von Beust qui a rejoint l’entreprise zurichoise Rabattcorner et s’occupe désormais de développer le marché de la Romandie. C’est-à-dire que des boutiques en ligne peuvent faire appel à une entreprise de cashback pour attirer des client·es sur leur site. En contrepartie, les client·es récupéreront un pourcentage de leur achat. En théorie, il s’avère que tout le monde est gagnant : la boutique enregistre davantage de visites de clients et donc génère plus de ventes, le client a pu acheter quelque chose tout en payant moins cher grâce à la petite somme d’argent qu’il récupère, et Rabattcorner, qui a mis en lien les 2 parties, peut toucher une commission de la vente qui a été générée.
C’est quoi le cashback ? Populaire en Europe et en Suisse alémanique, le cashback commence à faire son apparition en Romandie. Mais ce concept relié au marketing d’affiliation peut parfois susciter la peur ou ne pas être compris réellement. Alors, ça veut dire quoi ce terme un poil barbare ?
Dépenser… mais récupérer un peu. Lorsque vous réalisez un achat en ligne, vous dépensez une certaine somme d’argent, et celle-ci peut parfois être plus avantageuse grâce à un bon de réduction. Imaginez maintenant l’inverse : la réduction ne s’avère pas être une remise, mais finit par vous être versée sur un compte une fois l’achat réalisé. Vous pouvez ainsi “récupérer” un pourcentage de votre somme dépensée : 2, 3, 4% ou même plus. Eh bien c’est ça le cashback !
Pourquoi utiliser ce concept ?. Le cashback repose sur une technique de marketing d’affiliation, comme l’explique Polina von Beust qui a rejoint l’entreprise zurichoise Rabattcorner et s’occupe désormais de développer le marché de la Romandie. C’est-à-dire que des boutiques en ligne peuvent faire appel à une entreprise de cashback pour attirer des client·es sur leur site. En contrepartie, les client·es récupéreront un pourcentage de leur achat. En théorie, il s’avère que tout le monde est gagnant : la boutique enregistre davantage de visites de clients et donc génère plus de ventes, le client a pu acheter quelque chose tout en payant moins cher grâce à la petite somme d’argent qu’il récupère, et Rabattcorner, qui a mis en lien les 2 parties, peut toucher une commission de la vente qui a été générée.