Une intelligence artificielle pour répondre aux problèmes juridiques. Law·rence, c’est la version personnifiée d’un·e avocat·e traditionnel·e, sauf que cette fois, il s’agit…d’une intelligence artificielle ! C’est le système imaginé par Vanja Mégevand, diplômée du barreau et avocate, qui, après avoir travaillé pour une étude, a voulu changer les choses.
Le concept est assez simple : à l’aide d’une plateforme en ligne, il est possible de chercher de l’assistance juridique en posant simplement sa question à une intelligence artificielle. Grâce à une base de données, on accède soit à une réponse qui existe déjà dans celle-ci, soit on se retrouve mis en relation avec un·e avocat·e qui se chargera de notre cas. Cette technologie permet de mettre très facilement un particulier avec un·e avocat·e, tout en tenant compte du domaine de spécialisation, du coût, et du temps de prise en charge.
Á l’aide d’ingénieur·es et grâce à un financement initialement généré par Innovaud, la start-up Law-rence a développé une intelligence artificielle qui peut s’étendre à l’international : grâce à des avocat·es spécialisé·es dans le monde entier, et grâce à la traduction de la base de données en chaque langue. Si le potentiel trouve donc des adeptes en Turquie ou encore en Espagne, il est plus difficile de s’imposer sur le marché suisse, où la “legal tech” est encore peu développée. Quoi qu’il en soit, ce genre de plateforme se veut prête à bouleverser les codes du droit traditionnel.
Une intelligence artificielle pour répondre aux problèmes juridiques. Law·rence, c’est la version personnifiée d’un·e avocat·e traditionnel·e, sauf que cette fois, il s’agit…d’une intelligence artificielle ! C’est le système imaginé par Vanja Mégevand, diplômée du barreau et avocate, qui, après avoir travaillé pour une étude, a voulu changer les choses.
Le concept est assez simple : à l’aide d’une plateforme en ligne, il est possible de chercher de l’assistance juridique en posant simplement sa question à une intelligence artificielle. Grâce à une base de données, on accède soit à une réponse qui existe déjà dans celle-ci, soit on se retrouve mis en relation avec un·e avocat·e qui se chargera de notre cas. Cette technologie permet de mettre très facilement un particulier avec un·e avocat·e, tout en tenant compte du domaine de spécialisation, du coût, et du temps de prise en charge.
Á l’aide d’ingénieur·es et grâce à un financement initialement généré par Innovaud, la start-up Law-rence a développé une intelligence artificielle qui peut s’étendre à l’international : grâce à des avocat·es spécialisé·es dans le monde entier, et grâce à la traduction de la base de données en chaque langue. Si le potentiel trouve donc des adeptes en Turquie ou encore en Espagne, il est plus difficile de s’imposer sur le marché suisse, où la “legal tech” est encore peu développée. Quoi qu’il en soit, ce genre de plateforme se veut prête à bouleverser les codes du droit traditionnel.