Adieu les aiguilles, on peut désormais prélever le sang sans elles ! C’est à Lausanne qu’a vu le jour une technologie qui pourrait bien révolutionner le secteur médical, et plus particulièrement celui des laboratoires. En effet, imaginez une prise de sang… sans aiguille ! Le concept fait certainement rêver les plus réticent·es, et toutes celles et ceux qui sont déjà tombé·es dans les pommes à la vue du pic aiguisé qui s’approche de notre veine. Mais alors, comment ça fonctionne au juste ?
L’équipe de Loop Medical a travaillé sur l’élaboration d’un patch qui vient se coller sur la peau (par exemple en dessous de l’épaule) et qui, suite à la pression d’un bouton, vient collecter le sang en utilisant deux techniques particulières : d’abord, la vasodilatation cutanée, puis, la technologie de micro-incision. La combinaison de ces deux particularités permet de rendre le prélèvement indolore et relativement simple d’utilisation puisqu’on peut utiliser le dispositif seul·e, à la maison ou de manière classique en laboratoire. A terme, cette façon de prélever le sang permettra peut-être de se tester plus souvent, ou encore de donner l’accès aux populations des pays en développement à la prise de sang plus facilement.
Si Loop a terminé d’élaborer son dispositif, l’équipe doit désormais attendre sa commercialisation aux Etats-Unis l’année prochaine. En attente de certification, la start-up de l’EPFL doit également passer par plusieurs phases de tests, notamment en Afrique du Sud, pour prouver que ce prélèvement remplit les normes médicales strictes imposées par les autorités avant que l’on puisse utiliser ce système à grande échelle en Europe.
Adieu les aiguilles, on peut désormais prélever le sang sans elles ! C’est à Lausanne qu’a vu le jour une technologie qui pourrait bien révolutionner le secteur médical, et plus particulièrement celui des laboratoires. En effet, imaginez une prise de sang… sans aiguille ! Le concept fait certainement rêver les plus réticent·es, et toutes celles et ceux qui sont déjà tombé·es dans les pommes à la vue du pic aiguisé qui s’approche de notre veine. Mais alors, comment ça fonctionne au juste ?
L’équipe de Loop Medical a travaillé sur l’élaboration d’un patch qui vient se coller sur la peau (par exemple en dessous de l’épaule) et qui, suite à la pression d’un bouton, vient collecter le sang en utilisant deux techniques particulières : d’abord, la vasodilatation cutanée, puis, la technologie de micro-incision. La combinaison de ces deux particularités permet de rendre le prélèvement indolore et relativement simple d’utilisation puisqu’on peut utiliser le dispositif seul·e, à la maison ou de manière classique en laboratoire. A terme, cette façon de prélever le sang permettra peut-être de se tester plus souvent, ou encore de donner l’accès aux populations des pays en développement à la prise de sang plus facilement.
Si Loop a terminé d’élaborer son dispositif, l’équipe doit désormais attendre sa commercialisation aux Etats-Unis l’année prochaine. En attente de certification, la start-up de l’EPFL doit également passer par plusieurs phases de tests, notamment en Afrique du Sud, pour prouver que ce prélèvement remplit les normes médicales strictes imposées par les autorités avant que l’on puisse utiliser ce système à grande échelle en Europe.