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Imaginez quatre amis qui souhaitent ouvrir un bar à tapas, mais le Covid les en empêchent… Eh bien pas grave, autant lancer un resto dématérialisé ! En quoi cela consiste ? “Si le client ne peut pas venir à nous, c’est nous qui viendrons à lui”, explique Si-Tan, l’un des fondateurs du Callisto Dim Sum Bar. Alors qu’il s’occupe de la partie cuisine, ce touche-à-tout ne vient pas du milieu de base, mais a toujours aimé l’aspect convivial qui réunit les amateur·trices de bons petits plats. Dans cette interview, il nous explique comment il a imaginé avec ses acolytes, une nouvelle manière d’appréhender la restauration.
On connaît la vente en livraison ou encore de chefs à domicile… ici, l’idée de Callisto est plutôt de cuisiner dans un laboratoire, puis ensuite de terminer la cuisine et la cuisson directement devant les client·es. Il s’agit d’une expérience : on demande à Callisto d’investir sa cuisine, qu’elle soit d’un particulier ou d’un autre lieu (salle, bar, ou même sous-sol), pour venir goûter et se faire servir. Á ce jour, Callisto est connu pour être le premier restaurant dématérialisé de Suisse. Et attention, à ne pas confondre avec une dark-kitchen (ou cuisine fantôme) qui fait référence à une présence uniquement en ligne et en vente sur des plateformes de livraison. En effet, on peut retrouver Callisto en physique, peu importe le lieu. Et le concept compte se développer davantage durant l’été notamment grâce à un foodtruck qui sillonnera le canton.
Ce qui fait également l’ADN de ce concept, ce sont les points communs que partagent ses concepteurs : tous d’origine asiatique et nés en Europe, ils proposent une carte à l’image de leur identité. Ainsi, des dim sum (des mets sous forme de petite portion à partager) sont associés aux cocktails (à l’instar d’un accord met et vin) tout en proposant des saveurs inattendues. Avec ce pari, la volonté d’être jeune, dynamique, et en somme peut-être plus fun !
Imaginez quatre amis qui souhaitent ouvrir un bar à tapas, mais le Covid les en empêchent… Eh bien pas grave, autant lancer un resto dématérialisé ! En quoi cela consiste ? “Si le client ne peut pas venir à nous, c’est nous qui viendrons à lui”, explique Si-Tan, l’un des fondateurs du Callisto Dim Sum Bar. Alors qu’il s’occupe de la partie cuisine, ce touche-à-tout ne vient pas du milieu de base, mais a toujours aimé l’aspect convivial qui réunit les amateur·trices de bons petits plats. Dans cette interview, il nous explique comment il a imaginé avec ses acolytes, une nouvelle manière d’appréhender la restauration.
On connaît la vente en livraison ou encore de chefs à domicile… ici, l’idée de Callisto est plutôt de cuisiner dans un laboratoire, puis ensuite de terminer la cuisine et la cuisson directement devant les client·es. Il s’agit d’une expérience : on demande à Callisto d’investir sa cuisine, qu’elle soit d’un particulier ou d’un autre lieu (salle, bar, ou même sous-sol), pour venir goûter et se faire servir. Á ce jour, Callisto est connu pour être le premier restaurant dématérialisé de Suisse. Et attention, à ne pas confondre avec une dark-kitchen (ou cuisine fantôme) qui fait référence à une présence uniquement en ligne et en vente sur des plateformes de livraison. En effet, on peut retrouver Callisto en physique, peu importe le lieu. Et le concept compte se développer davantage durant l’été notamment grâce à un foodtruck qui sillonnera le canton.
Ce qui fait également l’ADN de ce concept, ce sont les points communs que partagent ses concepteurs : tous d’origine asiatique et nés en Europe, ils proposent une carte à l’image de leur identité. Ainsi, des dim sum (des mets sous forme de petite portion à partager) sont associés aux cocktails (à l’instar d’un accord met et vin) tout en proposant des saveurs inattendues. Avec ce pari, la volonté d’être jeune, dynamique, et en somme peut-être plus fun !
