Jouer au hockey sur glace ou encore au football américain peut s’avérer dangereux, notamment à cause des risques de commotions cérébrales qui règnent dans ce genre de sports. En effet, que l’on joue au niveau professionnel ou amateur, les joueur·euses sont rarement épargné·es par les secousses ! Alors attention, Mathieu Falbriard et Tom Bertrand, tous deux fondateurs de la société Bearmind, ne sont pas en train d’effrayer les passionnés ou de décourager les curieux. Au contraire, ces deux sportifs ont cherché une solution pour amener davantage de sécurité dans les sports qui peuvent provoquer des dommages médicaux importants.
La spin-off de l’EPFL a développé des capteurs sensoriels qui permettent de détecter les risques de commotions à l’avance. Ils ont donc une fonction préventive, qui assiste, mais ne remplace pas la médecine sportive. Comme le précise Tom, la décision reste dans les mains des médecins, mais ces derniers disposent, grâce à cette technologie, d’informations qui permettent de prendre soin de la santé de joueurs.
C’est avec le Lausanne Hockey Club que Bearmind teste actuellement ses capteurs qui se nichent dans les mousses des casques des joueurs. Ainsi, il s’agit de récolter un maximum de données (ou metrics) neurologiques durant les matchs et les entrainements. Dans un second temps, le duo d’ingénieurs souhaiterait étendre son domaine d’expertise aux autres sports comme l’équitation, puis, dans un troisième temps, à des domaines à risques comme la construction ou la sécurité (armée par exemple). Ils sont effectivement convaincus que ces capteurs peuvent capter les risques !
Jouer au hockey sur glace ou encore au football américain peut s’avérer dangereux, notamment à cause des risques de commotions cérébrales qui règnent dans ce genre de sports. En effet, que l’on joue au niveau professionnel ou amateur, les joueur·euses sont rarement épargné·es par les secousses ! Alors attention, Mathieu Falbriard et Tom Bertrand, tous deux fondateurs de la société Bearmind, ne sont pas en train d’effrayer les passionnés ou de décourager les curieux. Au contraire, ces deux sportifs ont cherché une solution pour amener davantage de sécurité dans les sports qui peuvent provoquer des dommages médicaux importants.
La spin-off de l’EPFL a développé des capteurs sensoriels qui permettent de détecter les risques de commotions à l’avance. Ils ont donc une fonction préventive, qui assiste, mais ne remplace pas la médecine sportive. Comme le précise Tom, la décision reste dans les mains des médecins, mais ces derniers disposent, grâce à cette technologie, d’informations qui permettent de prendre soin de la santé de joueurs.
C’est avec le Lausanne Hockey Club que Bearmind teste actuellement ses capteurs qui se nichent dans les mousses des casques des joueurs. Ainsi, il s’agit de récolter un maximum de données (ou metrics) neurologiques durant les matchs et les entrainements. Dans un second temps, le duo d’ingénieurs souhaiterait étendre son domaine d’expertise aux autres sports comme l’équitation, puis, dans un troisième temps, à des domaines à risques comme la construction ou la sécurité (armée par exemple). Ils sont effectivement convaincus que ces capteurs peuvent capter les risques !