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Genève et la banque font la paire, pas besoin de le répéter. Et c’est aussi pour cette tradition que de nouvelles banques voient aussi le jour, en tentant de casser les codes des maisons établies depuis plusieurs centaines d’années. Parmi elles, Alpian, créée en 2019, souhaite révolutionner la banque privée. C’est sa co-fondatrice Marion Fogli qui est venu expliquer en quoi ce concept se veut disruptif.
Qu’est-ce qu’une banque privée ? Un organisme qui permet aux plus fortuné·es de placer leur argent. En général le ticket d’entrée est fixé à 1 million de francs. Mais Alpian souhaite ouvrir sa gamme d’investissement à une population qui dispose des économies, sans pour autant faire partie des plus riches. Ainsi, à partir de 30 000 francs, on peut ouvrir un compte chez Alpian. La particularité : il s’agit d’une banque digitale, et plus particulièrement, “mobile only”, c’est-à-dire qu’elle fonctionne à l’aide d’une application mobile et permet d’entrer en contact avec un·e conseiller·e directement via ce système. On peut effectuer également ses paiements avec son compte, tout en investissant de manière guidée.
Sa co-fondatrice venant du milieu de l’hospitalité et ayant travaillé dans la gestion de fortune durant plusieurs années, elle a décidé d’allier les deux domaines. Ainsi, elle se concentre sur la gestion des données de ses clients afin de valoriser au mieux leurs besoins et désirs d’investissements. C’est pour cela que la relation client est primordiale pour la néobanque genevoise : en tant que client·e, on peut demander conseil et suivre un programme d’investissement personnalisé qui peut s’étendre sur quelques mois, 5 ans, ou même 10 ans. “Si nos clients aiment jouer au tennis ou s’ils souhaitent un jour acheter un bien immobilier, il est important pour nous de le savoir afin de les aiguiller au mieux”, explique Marion Fogli. Réconcilier la banque digitale et moderne avec un lien humain entre le banquier et son client, c’est donc tout le challenge d’Alpian qui se développe aujourd’hui entre Genève et Zurich et compte environ 70 employés.
Genève et la banque font la paire, pas besoin de le répéter. Et c’est aussi pour cette tradition que de nouvelles banques voient aussi le jour, en tentant de casser les codes des maisons établies depuis plusieurs centaines d’années. Parmi elles, Alpian, créée en 2019, souhaite révolutionner la banque privée. C’est sa co-fondatrice Marion Fogli qui est venu expliquer en quoi ce concept se veut disruptif.
Qu’est-ce qu’une banque privée ? Un organisme qui permet aux plus fortuné·es de placer leur argent. En général le ticket d’entrée est fixé à 1 million de francs. Mais Alpian souhaite ouvrir sa gamme d’investissement à une population qui dispose des économies, sans pour autant faire partie des plus riches. Ainsi, à partir de 30 000 francs, on peut ouvrir un compte chez Alpian. La particularité : il s’agit d’une banque digitale, et plus particulièrement, “mobile only”, c’est-à-dire qu’elle fonctionne à l’aide d’une application mobile et permet d’entrer en contact avec un·e conseiller·e directement via ce système. On peut effectuer également ses paiements avec son compte, tout en investissant de manière guidée.
Sa co-fondatrice venant du milieu de l’hospitalité et ayant travaillé dans la gestion de fortune durant plusieurs années, elle a décidé d’allier les deux domaines. Ainsi, elle se concentre sur la gestion des données de ses clients afin de valoriser au mieux leurs besoins et désirs d’investissements. C’est pour cela que la relation client est primordiale pour la néobanque genevoise : en tant que client·e, on peut demander conseil et suivre un programme d’investissement personnalisé qui peut s’étendre sur quelques mois, 5 ans, ou même 10 ans. “Si nos clients aiment jouer au tennis ou s’ils souhaitent un jour acheter un bien immobilier, il est important pour nous de le savoir afin de les aiguiller au mieux”, explique Marion Fogli. Réconcilier la banque digitale et moderne avec un lien humain entre le banquier et son client, c’est donc tout le challenge d’Alpian qui se développe aujourd’hui entre Genève et Zurich et compte environ 70 employés.
